Ougarit

🏆 Prix Écrire la Ville 2020
🏆 Prix France-Liban de l’ADELF 2019

Sélection 2020 du Roblès
Sélection 2020 du Prix Lorientales
Sélection 2019 du Prix de la Littérature Arabe

Le photoblog de Renaud Monfourny
Les Inrocks, 23.12.2019 ~ Renaud Monfourny
 Dans un premier roman proprement vertigineux qu’on ne lâche pas une fois commencé, Camille Ammoun nous entraine dans une quête mystique de l’Aleph borgésien… à Dubaï. Le livre est admirablement construit et écrit, entre roman d’aventure et réflexions sur l’humanité. Ougarit est un premier roman indispensable à lire. 

Camille Ammoun par Renaud Monfourny pour les Inrocks

« Rendons la ville aux gens, ils sauront quoi en faire »
L’Orient-Le Jour, 30.11.2019 ~ Joséphine Hobeika
 Camille Ammoun propose dans son premier opus un voyage en Orient post-moderne, au cours duquel le héros découvre le pouvoir de l’écriture, qui semble être la plus à même d’esquisser la saveur irréductible d’une ville, et l’attachement qu’elle génère. 

In folio : Le roman de Dubaï
L’Opinion, 22.10.2019 ~ Bernard Quiriny
 Bien des villes ont leur roman, certaines en ont plusieurs. Je ne crois pas que Dubaï avait déjà eu cet honneur, c’est à présent chose faite. Ougarit est avant tout un portrait de la ville, comme si l’écriture romanesque était la forme ultime de l’urbanologie, cette discipline créée par l’auteur. 

Ougarit ⭐️⭐️⭐️
Le Nouveau Magazine Littéraire, 10.2019 ~ Juliette Savard
 Ougarit Jérusalem, urbanologue de renom, est appelé à Dubaï pour remplir une importante mission : définir l’âme urbaine de cette « ville-monde superlative et postmoderne », autrefois petit port perlier. Ougarit se doit pour cela de trouver un aleph. Objet mystérieux décrit par J. L. Borges dans une de ses nouvelles, l’aleph est devenu ici un outil d’analyse qui permet « de voir la ville dans sa totalité et à tous les instants simultanément ». Mais, dans cette « forêt de béton, de verre et d’acier », la tâche se révèle plus complexe que prévu. Ni spirituel ni fantastique, ce premier roman très réussi relève plutôt du récit d’aventures réaliste ou d’un conte philosophique moderne. 

Le roman de Dubaï
Orient XXI, 20.09.2019 ~ Eric Verdeil
 D’Aurélien Bellanger on retrouve une quête de la connaissance ultime de la ville à travers un personnage qui ambitionne autant d’en embrasser la connaissance théorique que de maîtriser les ressorts de sa transformation. De Mathias Énard, le goût pour la recherche d’un Orient aux villes fascinantes, qui fuit et se perd dans les lacets d’une érudition aussi vertigineuse que le sont les méandres de vies en quête de sens. Placer le récit sous l’invocation d’Ougarit, c’est justement partir à la recherche de ce qui serait l’essence de la ville et plus particulièrement des villes orientales. 

‘Ougarit’, le premier roman de Camille Ammoun. Rencontre
L’Agenda Culturel, 21.08.2019 ~ Camille Ammoun
 L’idée de questionner l’urbain à travers la littérature me poursuit depuis longtemps, et c’est paradoxalement Dubaï, cette ville si peu ville, qui m’a inspiré ce roman. 

Rentrée littéraire, nos choix en 40 titres
Les Inrocks, 13.08.2019 
 Ce premier roman surprenant et ambitieux plonge au cœur de Dubaï, où Ougarit Jérusalem, urbanologue franco-syrien de renom, est appelé pour insuffler une âme à cette Alphaville construite au milieu du désert. Roman d’aventures, fiction politique et farce baroque, Ougarit fait autant penser à J.G. Ballard pour ses descriptions d’un futur urbain sidérant qu’au Dave Eggers d’Un hologramme pour le roi. Personnages, intrigue, ton : tout est juste, subtil, avec un zeste de loufoquerie bienvenu dans cet univers aride. 

Ougarit de Camille Ammoun chez Inculte
Livres Hebdo, 03.08.2019 ~ Nicolas Turcev
 Avec Ougarit, Camille Ammoun entreprend une exploration architecturale et urbaine du Golfe Persique. 

Ougarit à Dubaï
L’Orient Littéraire, nº157, 07.2019 ~ Charif Majdalani
Ougarit est d’abord et surtout une profonde et passionnante réflexion sur les questions urbaines dans le monde contemporain, sur le devenir des villes, sur leur rapport à leur passé, sur ce qui fait qu’on s’y attache et, plus que tout, sur l’énigme de la représentation imaginaire qu’on se fait de chaque cité, et donc sur la question de l’âme urbaine. ❞